Montre phénomène à l’image de María Félix à laquelle elle doit son nom, La Doña de Cartier entre à nouveau en scène. Forme, style, sensualité à fleur de peau, elle voyage au poignet, inédite, dans sa version sur bracelet en alligator. Belle de jour, insolente et animale pour le trapèze du cadran, le galbe du verre, les angles à vif et la puissance du dessin qui renvoient au crocodile, fétiche reptilien de María, la Félix, actrice mexicaine et grande cliente Cartier.
Ruban d’écailles
Total bijou de montre pour lequel Cartier a voulu la sauvagerie sophistiquée d’un bracelet en alligator. Ruban d’écailles sans surpiqûres, apposé au plus près, pour que rien ne vienne briser la ligne, ce trait tranché net qui souligne, précise l’incroyable graphisme du cadran.
Plein feu sur les couleurs
Et des couleurs, rouge intense pour l’or jaune, rose bonbon pour l’or gris, bordeaux Maison pour l’or rose, tons d’excès, tons d’incendie et de boudoir à la manière des manières de María pour des montres qui étincellent aussi la nuit dans leur version diamants.
Un défilé de lumière, show palpitant et précieux de la montre La Doña de Cartier dont la toute neuve version acier, fidèle aux maillons de l’originelle, fait serpenter sur la peau l’éclat métallique et sidéral d’un bracelet aux reflets grisants.
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