mardi 26 juin 2007

CIC – Esprit libre

Gérez vos dépenses en toute transparence

Les achats ou les retraits effectués avec la carte Allure Libre en France ou à l'étranger sont déduits de votre réserve de crédit. Au fur et à mesure de vos remboursements, elle se reconstitue automatiquement.
Chaque mois, vous recevez le détail de vos opérations. Vous savez toujours où vous en êtes.

Vous remboursez à votre rythme

Pour tout achat supérieur à 150 €, vous pouvez programmer la durée de vos remboursements de 3 à 60 mensualités.
Sinon, vous remboursez chaque mois de 3% à 10% du crédit, selon les modalités que vous avez déterminées lors de la souscription.
Dans tous les cas, vous pouvez aussi rembourser par anticipation ou reporter une mensualité.

Des garanties supplémentaires pour vos achats

Achetez en toute tranquillité, des garanties spécifiques sécurisent les achats1 réglés avec la carte Allure Libre :

- frais de réparation ou de remplacement pris en charge en cas de vol ou de détérioration accidentelle dans les 48 heures qui suivent l'achat ou la livraison

- prolongation de la garantie constructeur

- remboursement des différences de prix supérieures à 45 €2

Exemple d'utilisation du crédit Allure Libre

Pour une utilisation de 1 000 € avec l'option de remboursement 5%, vous remboursez 22 mensualités de 50 € et une dernière de 25,12 €. Coût total du crédit 125,15 €. TEG annuel révisable : 13,09% indexé sur l'EURIBOR moyenne mensuelle à 6 mois (hors assurance facultative). Le coût total du crédit dépend du montant et de la durée effective du découvert. Conditions en vigueur au 1er juin 2007.

mercredi 13 juin 2007

CIC - Votre partenaire financier!

Un Livret à 6% en 2007 : un bon bagage pour démarrer !

6% taux nominal annuel (brut pour le Livret Bienvenue, net pour le Livret Jeune) pour tout nouveau versement au CIC sur un Livret Bienvenue ou un Livret Jeune souscrit entre le 16/05/2007 et le 31/12/2007, dans la limite de 1 600 € (la rémunération du Livret Bienvenue est à 2,5% taux nominal annuel brut au-delà des 1 600 €).
Les intérêts sont calculés par quinzaine et capitalisés à la fin de l'année civile. Offre réservée aux personnes physiques. Un seul livret par titulaire.
Les Livrets d'épargne n'ont pas de durée minimale, vous pouvez les clôturer en adressant un courrier à la banque.

2 Pour un prêt personnel de 3 000 € sur 36 mois, vous remboursez 36 mensualités de 87,06 €, frais de dossier offerts. TEG annuel fixe de 2,90% (hors assurances facultatives). Coût total du crédit de 134,09 € (représentant exclusivement les intérêts). Sous réserve d'acceptation par la banque. Conditions au 01/05/2007, applicables jusqu'au 13/07/2007.

3 L'abonnement au Contrat Personnel Starts Jeunes Actifs formule Web est gratuit jusqu'au 31/12/2007, (puis à 4 € par mois) pour tout nouveau contrat souscrit avant le 28ème anniversaire du souscripteur entre le 21 mai et le 13 juillet 2007.
Le Contrat Personnel Starts Jeunes Actifs n'a pas de durée minimale, vous pouvez le clôturer en adressant un courrier à la banque.

De plus en plus d'entreprises, petites comme grandes, recourent au crédit bail et à la LLD pour financer leurs équipements et plus particulièrement leurs véhicules professionnels. Ces solutions ont su capter l'intérêt des entreprises par une offre de services et des avantages adaptés à leurs problématiques.

Une façon moderne de gérer vos véhicules

Dans le système du crédit-bail ou de la LLD, l'organisme financier se porte acquéreur des véhicules à votre place. Ainsi, vous en financez seulement l'utilisation et non l'acquisition.
Vous disposez cependant d'une totale liberté : c'est vous qui choisissez le concessionnaire et négociez avec lui. Voitures de société, véhicules utilitaires légers ou véhicules industriels peuvent être ainsi financés.
Autre avantage notable :
vous ne vous endettez plus mais gérez des charges d'exploitation.

Optimisez votre fiscalité avec le crédit-bail

Aujourd'hui, un financement sur quatre se fait de cette manière. Les avantages sont nombreux :

· - Le crédit-bail finance 100% de votre investissement.

· - Vous choisissez la périodicité (mensuelle, trimestrielle) et les modalités des loyers (linéaires, dégressifs ou loyer majoré) selon votre activité et le mode d'utilisation du véhicule.

· - Vous n'avez pas à avancer la TVA : elle est acquittée par le bailleur et répercutée sur l'ensemble des loyers. Sa charge est donc lissée sur toute la durée du contrat, et vous pouvez la récupérer.

· - Les loyers sont déductibles des bénéfices dans leur intégralité et réduisent donc l'assiette de l'impôt1. Vous optimisez ainsi votre fiscalité.

La LLD : le service en plus !

Les solutions locatives se distinguent également par les services qui leur sont associés. Pour les entreprises qui veulent compter sur des véhicules parfaitement entretenus sans avoir à s'en occuper, le CIC a conçu Auto Confort Pro CIC. Dans cette formule tout compris sont intégrés :

· - un contrat de location, d'entretien et de maintenance sur mesure

· - une assistance sans franchise kilométrique

En option, vous pouvez choisir :

· - un véhicule de remplacement en cas d'immobilisation

· - la gestion des pneumatiques

· - la gestion de carburant par carte distributeur

Crédit-bail ou LLD ?

Le crédit-bail est la solution qu'il vous faut si :

· - vous souhaitez vous charger vous-même de l'entretien des véhicules (s'il s'agit de véhicules utilitaires pour lesquels l'entreprise dispose d'un service de maintenance, par exemple)

· - dès l'origine du contrat, vous souhaitez bénéficier d'une option d'achat sur le véhicule, en vue de l'acquérir pour le conserver ou le revendre

La LLD est la solution qu'il vous faut si :

· - vous souhaitez déléguer l'achat, la gestion et l'entretien des véhicules

· - vous ne voulez pas vous soucier de la revente des véhicules dépréciés

Prêt étudiants

Vous avez moins de 28 ans ?

Le CIC vous offre un bon bagage pour démarrer dans la vie : un Prêt Jeunes à 2,9%2

· Pour un prêt personnel de 3 000 € sur 36 mois, vous remboursez 36 mensualités de 87,06 €

· Frais de dossier offerts

· TEG annuel fixe : 2,9% (hors assurances facultatives)

dimanche 3 juin 2007

Voitures de luxe en location

Louer une Ferrari pour une semaine coûte environ 10000 euros.DR

Certaines voitures très haut de gamme peuvent se louer pour un week-end ou quelques jours, à condition d'avoir un compte en banque bien fourni.

Ferrari 360 Modena ou 430 coupé, Aston Martin DB9 cabriolet, Mercedes SLK 350, des voitures qui font rêver et qui restent, pour la plupart d’entre nous, du domaine de l'inaccessible. Or si l’achat de ces voitures de luxe est souvent irréalisable (comptez environ 200.000 euros pour une Ferrari), la location pour une journée, un week-end ou une semaine peut s’envisager, même si, au-delà de sept jours, le prix avoisine celui d’une voiture d’occasion !

Mais attention, ces voitures de luxe ne peuvent pas être mises entre toutes les mains. Les loueurs prennent en effet leurs précautions avant de confier leur bébé au client. Les conditions pour pouvoir monter à bord d’une de ces luxueuses et belles voitures sont nombreuses : avoir au minimum 21, 25 voire 30 ans pour certains modèles, être titulaire d’un permis depuis au moins 3 ou 5 ans et, surtout, avoir un compte en banque à la hauteur. La location d’une Ferrari F430, par exemple, revient entre 1500 et 2000 euros par jour, 5000 euros pour le week-end et environ 10000 euros la semaine. La balade revient cher… Autre chiffre exorbitant, le montant de la franchise ou de la garantie qu’il faudra avancer avant de prendre le volant de ces bolides de luxe. Pour une Ferrari F430, celle-ci peut s’élever à 20.000 euros et à 25.000 euros pour une Aston Martin DB9, sans compter le prix du km supplémentaire qui peut allégrement atteindre les 6 euros et le réservoir de 95 litres pour une Ferrari 360 qu'il faudra bien remplir après avoir appuyé un peu trop sur le champignon.

Solides garanties exigées

« La première chose que je fais quand un client veut me louer une voiture de luxe, je lui présente le prix de la franchise. D’emblée, sa réaction me permet de savoir s’il a les reins assez solides», déclare Olivier Guazzoni, créateur associé de just4vip, une société spécialisée dans la location de véhicules haut de gamme. « Parfois, nous acceptons de confier certaines voitures à des jeunes de 23 ou 22 ans, mais dans ce cas, nous doublons le prix de la franchise » confie-t-il. D'autres loueurs vont encore plus loin dans leurs pratiques, à la limite de la légalité, et n'hésitent pas à appeler "le banquier pour vérifier la solidité du compte", souligne un autre connaisseur du milieu.

Afin d'apporter une garantie suffisante, le client doit, selon les modèles, présenter une ou deux cartes de crédit de type Gold Card ou Visa Infinite. Autant dire que les propriétaires de ces précieux sésames sont rares. Concernant les dégâts qui peuvent être occasionnés aux véhicules, la franchise ou la garantie sera encaissée si la responsabilité du conducteur est engagée en partie ou en totalité.

Les périodes où la location de ces belles est prisée? L'été bien sûr, plus particulièrement lors du festival de Cannes et, surtout, du Grand Prix de Monaco. "C'est à ce moment là que nous enregistrons le plus de commandes", déclare Olivier, quand toute la crème du show-biz mondial et de la jet set se donnent rendez-vous pour être vus. Le type de client? Des Russes et des Américains, mais aussi de plus en plus de Brésiliens, et également des chefs d'entreprise ou des personnalités de la télé française. En revanche, ces derniers sont plus adeptes de voitures divertissantes, comme la Mini Cooper, que des grosses sportives ou des berlines de luxe. Au final, qu'il s'agisse d'achat ou de location, les voitures haut de gamme restent toujours la cible d'une clientèle fortunée!

Alexandre Panizzo.


Bâle à l'heure du grand luxe

C'est dans un climat d'euphorie que Baselworld, le salon mondial de l'horlogerie et de la bijouterie, ouvre ses portes aujourd'hui à Bâle jusqu'au 19 avril.

Croissance mondiale des marchés du luxe, année record pour l'industrie horlogère suisse en 2006... État des lieux avec Sylvie Ritter, directrice de Baselworld.

Comment s'annonce cette 35e édition de Baselworld ?

Extrêmement bien. La conjoncture économique est favorable à l'ensemble de notre secteur. D'une part, les marchés traditionnels pour les produits de luxe que sont les États-Unis, l'Europe et l'Asie ont connu l'an dernier de fortes croissances, à l'instar d'ailleurs de celles constatées dans les pays émergents comme la Russie ou la Chine. D'autre part, le chiffre d'affaires de l'industrie horlogère helvétique a, pour la troisième année d'affilée, enregistré un taux de progression à deux chiffres, de près de 11 %. En 1986, le total des exportations horlogères suisses se chiffrait à 4,3 milliards de francs suisses. Vingt ans après, il a atteint 13,7 milliards ! L'objectif de Baselworld a toujours été de représenter l'ensemble de la branche. C'est pourquoi ce salon s'est développé en même temps que le marché. Aujourd'hui, nous estimons qu'environ 90 % de la production horlogère suisse y est représentée, des machines-outils aux produits finis, de la haute horlogerie aux marques de grande diffusion. Pour tous les acteurs de cette industrie, Bâle constitue un événement phare. Les marques réalisent ici entre 75 % et 90 % de leur chiffre d'affaires annuel. En 2006, nous avons accueilli plus de 94 000 visiteurs. Nous espérons aujourd'hui franchir la barre des 100 000 personnes. Sur 160 000 m², les distributeurs vont découvrir les nouvelles collections de plus de 2 000 exposants en provenance du monde entier. Bâle est devenu un baromètre pour les industries du luxe, un carrefour mondial où les tendances se dessinent, quels que soient les segments de gamme considérés.

Quelles sont les évolutions que vous avez constatées ?

Les exposants ne se contentent plus de présenter leurs nouveautés, ils les mettent en scène. Les stands sont devenus de véritables écrins où le patrimoine, l'histoire, le contexte de l'entreprise sont mis en avant. Autrefois, on exposait des produits, aujourd'hui on présente des univers de marques. Dans l'horlogerie, c'est flagrant : le secteur des montres ne représente que 16 % des exposants mais s'arroge 55 % de la surface totale d'exposition. De plus, les frontières entre les secteurs s'estompent. Les marques de montres lancent des bijoux et inversement. Les entreprises de ce secteur s'inscrivent dans une logique de globalité : présenter au sein d'un même espace un concept de marque où les produits renvoient à des valeurs, à un certain art de vivre, etc. Le consommateur n'achète plus une montre ou un bijou particulier, il s'offre un nom et l'univers afférent.

Comment l'expliquez-vous ?

Le marché horloger est devenu de plus en plus concurrentiel. Depuis quelques années, il y a eu un renforcement dans le haut de gamme. L'arrivée de nouvelles marques voulant se lancer dans les pièces de prestige a conduit les maisons existantes à accroître également leur proposition dans ce secteur. Et l'apparition d'une clientèle mondiale de plus en plus riche a accru la demande de produits de luxe. D'autre part, l'arrivée massive des marques de mode, qui se sont toutes mises à lancer des montres, a également changé la donne en favorisant, notamment, ce concept d'univers global. Il en résulte une très grande diversité des modèles présentés en termes de design, de matériaux, de couleurs, comme dans la recherche de mécanismes avec des fonctions inédites. Il y a dix ans, quand on s'achetait une montre suisse, on pensait avoir la bonne et la garder un certain temps. Aujourd'hui, il faudrait presque en avoir une pour chaque moment de la journée ! Chaque année, à la veille de l'ouverture de Bâle, je me demande ce que les horlogers vont encore avoir inventé pour susciter et assouvir les envies des consommateurs...