dimanche 21 octobre 2007

Le classement annuel des 100 premières banques européennes

La rentabilité des banques européennes a atteint en 2006 de nouveaux sommets, sur fond de reprise de la concentration du secteur. Le classement annuel des 100 premiers établissements du continent, établi à partir des données de l'agence Fitch, témoigne d'une nouvelle amélioration des performances du secteur. Le cumul des 15 premiers bénéfices nets enregistre un bond de 18 % en un an. Il s'élève à un peu plus de 110 milliards d'euros. En 2006, 13 banques, contre 8 l'année précédente, ont gagné plus de 5 milliards. Ces progrès s'expliquent notamment par les acquisitions réalisées par les plus gros acteurs. Toutes les banques françaises ont amélioré leur classement. Société Générale pointe désormais au 8e rang, BNP Paribas au 30e.

L'année 2006 a été très bien remplie pour les géants bancaires du Vieux Continent, comme le montre le classement annuel des 100 premières banques européennes, publié aujourd'hui et demain par " Les Echos ". De nouveaux records de rentabilité ont en effet été battus chez de nombreux acteurs, le tout sur fond de reprise de la concentration du secteur. L'exercice 2006 a marqué l'an II des normes internationales IFRS (International Financial Reporting Standard) et 86 banques sur 100 sont présentées en IFRS, contre seulement 78 l'an dernier. L'indicateur de rentabilité opérationnelle, " operating return on average equity " ou ROAE (ci-dessous), est le mieux à même, selon Fitch Ratings, de neutraliser les problèmes de volatilité des bénéfices et des fonds propres de ce nouveau référentiel.
· Nouvelle année record. Le nombre de banques à larentabilité opérationnelle supérieure à 25 % est passé de 16 à 21. En ce qui concerne le retour sur fonds propres (RoE), 47 banques dépassent le seuil des 15 %, contre 43 un an plus tôt. Une seule banque est en perte, Allgemeine Hypothekenbank Rheinboden (AHBR), contre 4. Conjoncture économique porteuse, marchés de capitaux bien orientés et des provisions contenues sauf exceptions : la recette du succès n'a pas changé. En 2006, 13 banques contre 8 ont gagné plus de 5 milliards d'euros. Le cumul des 15 premiers bénéfices nets s'élève à un peu plus de 110 milliards, un bond de 18 % en un an. Des progrès qui s'expliquent aussi par les acquisitions réalisées par les plus gros acteurs.
· Lloyds TSB et BBVA moins dominateurs. Aux avant-postes, le britannique Lloyds TSB et l'espagnol BBVA restent sur le podium, premier et troisième avec des rentabilités opérationnelles de 38,87 % et 34,53 %. Ils enregistrent toutefois, l'un et l'autre, un fléchissement d'une année sur l'autre, de près d'un demi-point pour le premier et de près de 4 points pour le second, comme s'ils marquaient une pause après un pic de rentabilité, alors que leurs bénéfices opérationnels ont continué de progresser, de 16 et 22 % respectivement. Eternel rival de BBVA, l'espagnol Santander n'est qu'au 41e rang.
· SocGen progresse dans le Top 10. La Société Générale gagne 2 places et se situe à la 8e place, avec une rentabilité opérationnelle en hausse de 0,65 point, à 29,08 %. Parmi les groupes de taille similaire, seul BBVA fait mieux. SocGen a bénéficié tout particulièrement de ses activités de banque d'investissement en 2006. Derrière, toutes les banques françaises ont amélioré leur classement, à l'exception du Crédit Immobilier de France, le spécialiste des crédits à l'habitat, et des Banques Populaires. Ces dernières sont, il est vrai, fortement capitalisées depuis la création de Natixis, la filiale banque d'investissement détenue avec le Groupe Caisse d'Epargne.
· L'avertissement de HSBC. La plus internationale des banques rétrograde de 12 places. Ce géant boursier a dû passer des provisions en raison de la brutale détérioration de la qualité du portefeuille de crédit de HSBC Finance, sa filiale américaine active sur le marché dit " subprime ", la frange la plus risquée des crédits hypothécaires. Cela étant, sa rentabilité opérationnelle dépasse toujours les 20 %. Au 37e rang, HSBC est la lanterne rouge des 6 leaders britanniques qui continuent de dominer la classe européenne. Ces derniers sont rejoints par les 5 grands nordiques, dont le dernier occupe le 36e rang, sans oublier les deux géants suisses, UBS et Credit Suisse, respectivement classés 13e et 20e.
· Recul néerlandais. ABN AMRO a perdu 32 places d'une année sur l'autre, tombant à la 52e place, avec une rentabilité opérationnelle de 17,16 %. L'exercice a été pénalisé par des provisions à Taiwan et au Brésil. De quoi alimenter l'impatience des investisseurs activistes qui réclament une stratégie alternative et l'appétit de ses concurrents engagés dans une bataille boursière pour son contrôle.
Les deux autres géants bancaires bataves, ING et Rabobank, perdent eux aussi du terrain.
· Deutsche Bank échappé. Poussé par ses activités de banque d'investissement, qui représentent les trois quarts de son bénéfice avant impôt, Deutsche Bank gagne 16 places et passe au 16e rang. Les autres grands acteurs allemands restent dans la seconde partie du tableau, avec Dresdner Bank, la filiale du groupe Allianz, en lanterne rouge.

samedi 13 octobre 2007

Citigroup restructure son activité marchés

Tom Maheras, patron des marchés, démissionne, et la nouvelle entité regroupant les marchés et les investissements alternatifs sera dirigée par Vikram Pandit, ex-Morgan Stanley
La banque américaine Citigroup, qui s'est brûlé sérieusement les doigts sur le marché du crédit hypothécaire, a annoncé jeudi une restructuration de son activité "marchés", dont le chef, souvent présenté comme un potentiel futur président, a démissionné.
La première banque américaine va fusionner ses départements "marchés" et "investissements alternatifs", au sein d'une structure unique baptisée "groupe clients institutionnels". Cette structure sera présidée par Vikram Pandit, un transfuge venu de Morgan Stanley. Tom Maheras, qui dirigeait jusqu'alors l'activité "marchés" et jouissait de solides appuis parmi les traders de la banque, a quitté le groupe pour "se consacrer à d'autres intérêts", précise seulement Citigroup.
"Cette nouvelle structure va nous permettre de continuer à utiliser nos capitaux activement, mais de manière plus efficace, de poursuivre notre marche vers des métiers à plus forte marge, de continuer à diversifier nos sources d'activité et d'employer des talents de classe mondiale, constamment concentrés sur la satisfaction de nos clients", a commenté le PDG Charles Prince.
Il y a quelques jours, Citigroup avait reconnu avoir subi d'importantes pertes cet été dans les crédits hypothécaires à risque. Le résultat net du troisième trimestre, qui a vu culminer les tensions sur les marchés, devrait être en retrait de 60% sur son niveau de l'année précédente, avait alors admis la première banque américaine. Citigroup avait expliqué la baisse de ses résultats trimestriels par ses "faibles performances dans l'activité obligataire, par des dépréciations sur son portefeuille de crédits (aux fonds d'investissements) et par une augmentation de ses coûts dans le crédit à la consommation".
Au titre du trimestre achevé fin septembre, Citigroup va passer par pertes et profits 1,4 milliard de dollars sur son portefeuille de crédits accordés aux fonds d'investissement. La banque va aussi passer dans ses livres 1,3 milliard de dollars de pertes sur son portefeuille de crédits hypothécaires à risque qui étaient destinés à servir de support à des titres obligataires. S'y ajoutent enfin 600 millions de dollars de perte dans les activités de marché.

Les banques vont encore resserrer l'accès au crédit au 4e trimestre


Dans son dernier rapport trimestriel sur le marché du crédit bancaire, la Banque centrale européenne confirme le resserrement des conditions de crédit au 3e trimestre et signale que les banques s'attendent à ce que l'évolution récente des marchés du crédit provoque un nouveau resserrement durant le quatrième trimestre. Ce durcissement affecte aussi bien le marché des prêts aux entreprises que celui des particuliers.

samedi 6 octobre 2007

Pensez au crédit lombard

Un besoin inopiné de liquidités, cela peut arriver à tout moment.
Exemple fréquent, celui des jeunes retraités qui signent pour un nouveau logement plus petit : ils ont largement les moyens de financer leur acquisition... Du moins, ils l'auront, une fois qu'ils auront vendu leur appartement actuel. En attendant, il faut bien faire la soudure. Un prêt relais pourrait faire l'affaire, mais il y a peut-être mieux...
Autre scénario fréquent : l'un des enfants vient de réussir son examen d'entrée dans une prestigieuse école. Il est assuré de bénéficier dans quelques mois d'une bourse d'études, mais dans l'immédiat, il faut s'acquitter des frais de scolarité. Une solution pour les parents consisterait à contracter un prêt à la consommation, ou bien à se délester d'un placement. Mais là encore, il y a peut-être mieux.
Cette alternative est communément dénommée prêt sur avoirs. Mais sa formulation historique est le crédit lombard. Pour la bonne raison qu'au Moyen Age, les Italiens de cette région du nord du pays révolutionnèrent le mécanisme des emprunts. En l'occurrence, il s'agit d'un prêt bancaire, garanti par des avoirs que le client détient déjà. Bon nombre d'établissements le consentent à leurs bons clients. Mais bizarrement, rares sont ceux qui communiquent sur le sujet. A la notable exception de Robeco.
François Gazier est responsable de l'offre produits à la filiale française de la banque néerlandaise. Il est à l'origine de la mise en place, il y a quatre ans, de cette facilité. " Nous l'avons conçue, explique-t-il, en pensant à nos clients qui doivent faire face à un besoin immédiat de liquidités mais qui souhaitent conserver leurs placements financiers. " Les raisons sont multiples, en effet, de ne pas vouloir sacrifier une ligne d'actions. Ces temps-ci, par exemple, ce serait une véritable braderie que de céder des valeurs financières dont certaines ont perdu le tiers de leur valeur. De même, il arrive souvent que les placements soient logés dans des enveloppes fiscales, à l'exemple de l'assurance-vie ou du PEA. Une liquidation prématurée peut avoir des conséquences fâcheuses.
Le prêt sur avoirs permet d'éviter ces obstacles. Le montant des sommes avancées varie en fonction de la solidité des placements apportés en nantissement. Ainsi, un compte sur livret est jugé totalement sûr : le crédit consenti peut alors représenter 100 % de sa valeur. Avec le fonds en euros d'un contrat d'assurance-vie, le prêt ira jusqu'à 80 % de son encours. S'il s'agit de lignes d'actions, elles seront analysées pour établir leur fiabilité.
La durée des prêts ensuite se révèle très souple. Pour des projets non spécifiés, le remboursement s'étale entre un an et huit ans. Pour des prêts immobiliers, l'échéancier va jusqu'à quinze ans. Comme il s'agit de prêts à remboursement in fine, le remboursement, trimestriel, ne concerne que les intérêts. Le taux est basé sur l'Eonia, c'est-à-dire le taux journalier de rémunération des dépôts interbancaires. Au titre de ses frais de dossier, Robeco ajoute 200 points de base. Cela nous amène actuellement à un total de 6,02 %, dans la mesure où l'Eonia s'est considérablement relevée ces dernières semaines.
Cela peut sembler cher ? Peut-être par rapport aux prêts à taux fixe sur quinze ans dans l'immobilier. Mais comparée aux prêts à la consommation, la proportion passe du simple au double. Il faut enfin savoir que le montant minimum d'emprunt est fixé à 21.500 euros.

lundi 1 octobre 2007

Fusion - Acquisition

Malgré un déclin durant l'été, le montant des "fusacs" dans le monde atteint 3.624 milliards de dollars à fin septembre, selon les données de Thomson Financial.
Le montant des fusions-acquisitions dans le monde a d'ores et déjà atteint sur les neuf premiers mois de l'année un nouveau record annuel, à 3.624 milliards de dollars, selon des données publiées lundi par la société Thomson Financial. Goldman Sachs reste en tête devant Morgan Stanley Cette somme représente un bond de 50% par rapport à un an plus tôt, a ajouté le fournisseur canadien de statistiques financières.
Cependant, la fin du troisième trimestre a été marquée par une chute des activités de rachat: le montant des opérations s'est effondré à 192 milliards de dollars en septembre, ce qui représente le plus faible montant mensuel depuis août 2005 et une baisse de 66% par rapport à juillet.
Le secteur de la finance a représenté 19% de l'activité enregistrée sur les neuf premiers mois de l'année, grâce notamment aux deux offres lancées sur la banque néerlandaise ABN Amro. En revanche, par le nombre d'opérations, c'est le secteur technologique qui s'est montré le plus actif avec 4.100 transactions annoncées.
Goldman Sachs a conservé la tête du classement des banques conseillères en fusions-acquisitions, avec 377 opérations annoncées pour une valeur totale de 1.135 milliards de dollars, devant Morgan Stanley, Citigroup, JPMorgan et UBS. Le groupe français BNP Paribas perd 3 places, au 15e rang.

samedi 22 septembre 2007

US : les prix à la consommation ont reculé le mois dernier

Grosse accalmie sur le front de l'inflation américaine. Les prix à la consommation ont ainsi baissé de 0,1 entre juillet et août, un chiffre conforme aux anticipations des économistes qui tablaient sur une stabilité de l'indice CPI. Hors alimentation et énergie, les prix ont néanmoins augmenté de 0,2%.Les prix dans les secteurs de l'énergie et de l'hôtellerie ont particulièrement diminué au mois d'août. Ils ont en revanche progressé dans l'alimentaire et les soins médicaux.Sur un an, l'inflation globale ressort à 2%, et à 2,1% hors alimentaire et énergie.

samedi 15 septembre 2007

Deux candidats en lice pour la direction du FMI

Le dépôt des candidatures est clos. Le Français Dominique Strauss-Kahn, figure de poids du PS et ancien ministre des Finances, affrontera un ex-membre du parti communiste, le Tchèque Josef Tosovsky.

Le Fonds monétaire international (FMI) restera dirigé par un européen. Passé ce constat, il va devoir choisir son futur directeur général parmi deux candidats, un Français et un Tchèque, dont aucun ne fait l'unanimité. Le FMI a indiqué vendredi soir que les deux hommes étaient les seuls candidats, à l'expiration du délai imparti au dépôt de candidature.
Jusqu'au 22 août, le Français Dominique Strauss-Kahn, figure de poids du parti socialiste français et ancien ministre des Finances, était seul en lice.Fort du soutien de l'Union européenne, il était assuré de remplacer l'Espagnol Rodrigo Rato à la tête de l'institution. Les Européens choisissent traditionnellement, parmi les leurs, le chef du FMI et les Etats-Unis celui de la Banque mondiale. Mais la Russie a décidé de jouer les trouble-fêtes en nommant la semaine dernière son propre candidat, un ancien banquier central et ex-membre du parti communiste, le Tchèque Josef Tosovsky.

Choisis sur leurs compétences :
"Le conseil d'administration prévoit d'interviewer les candidats à Washington dans le mois qui vient (septembre), et prévoit de se rencontrer par la suite pour discuter des points forts des candidats et faire une sélection", selon un communiqué du Fonds. Le Fonds précise que les candidats seront choisi sur "la base de leur expérience professionnelle et de leurs compétences".
Si Strauss-Kahn est jusqu'ici resté sobre, la Russie elle est déjà passée à l'attaque. Le 25 août, le directeur exécutif du Fonds monétaire international pour la Russie, Alexeï Mojine, a mis en doute les compétences de l'ancien ministre dans un entretien au quotidien Financial Times. "Il n'y a rien dans le CV de M. Strauss-Kahn qui montre clairement qu'il a les qualités techniques pour accomplir le travail", avait-il lancé. Le journal est revenu à la charge mardi dans un éditorial au ton sévère.

Méthode de sélection critiquée :
La méthode de sélection choque de plus en plus dans les pays émergents. Ils veulent avoir voix au chapitre après avoir été écartés du processus de sélection depuis la création de la Banque mondiale et du FMI. "Il y a des réformes profondes à apporter au sein de ces institutions et, bien sûr, en finir définitivement avec cette règle qui décide que tel poste est conservé par tel pays ou telle région parce que cela ne reflète pas l'état des forces aujourd'hui dans le monde", a déclaré Alpha Omar Konaré, le président de la Commission de l'Union africaine. Une position prise par de nombreux autres pays émergents et par la Russie.
Les assurances de Jean-Claude Juncker, actuel président du groupe des grands argentiers de la zone euro, ne suffiront sans doute pas à calmer les revendications. "Tout le monde est conscient que Strauss-Kahn sera certainement le dernier Européen à devenir directeur du FMI dans un futur prévisible".

mercredi 5 septembre 2007

Assurance en ligne : de plus en plus d'internautes prêts à souscrire

Seuls les contrats d'assurance simples attirent les internautes. 10% des internautes seulement seraient prêts à souscrire en ligne une assurance-vie, selon Assurland.
Les internautes sont de plus en plus nombreux à se déclarer prêts à souscrire une assurance en ligne, selon une étude réalisée par le courtier Assurland. Près des deux tiers des 6.732 internautes expérimentés interrogés passeraient donc par Internet pour souscrire en ligne des produits d'assurance simples tels que la carte neige, l'assurance scolaire, l'individuel accident. En 2003, ils n'étaient que 38 % prêts à franchir le pas.
Toujours selon cette étude, ils sont 25 % à être disposés à souscrire une assurance auto, 30 % une assurance habitation, mais 10 % seulement pour l'assurance-vie, contrat plus complexe. Ces chiffres étaient respectivement de 5 %, 15 % et moins de 1 % en 2003.
La souscription en ligne reste encore faible en France par rapport aux États-Unis et à la Grande-Bretagne. Loin d'être saturé, ce marché de l'assurance en ligne reste donc prometteur pour les courtiers basés en France.

samedi 1 septembre 2007

Les banques rassurent Matignon sur leur politique de crédit

"Il n'y a pas d'inquiétude à avoir sur le financement des particuliers, ni sur le volume ni sur les taux" selon François Fillon, qui demande aux banques davantage de lisibilité.
" Les banques aussi doivent jouer le jeu. Jouer le jeu pour les banques, c'est ne pas prêter davantage ou plus facilement aux spéculateurs qu'aux entreprises et aux ménages. C'est ne pas resserrer le crédit à l'économie pour compenser les risques excessifs qu'elles ont pris sur les marchés financiers ", a déclaré François Fillon aux 11 patrons d'établissement bancaire (l).
A l'issue de la réunion, François Fillon a ainsi estimé qu'il " n'y a pas d'inquiétude à avoir sur le financement des particuliers et celui des entreprises, ni sur le volume ni sur les taux ", après la crise boursière. Les banques françaises sont " solides " et, " pour une certaine part, différentes des autres systèmes les plus touchés par cette crise financière ". Un groupe de travail de la place de Paris rassemblant les banques, la Banque de France et l'Autorité des marché financiers va même être mis en place afin de faire des propositions à la communauté internationale pour " améliorer la transparence du système ", a-t-il indiqué.
Plafonnement des frais
Les exigences de transparence touchent également la relation avec les clients. " Les banques devront rapidement mettre en action le bilan annuel des frais facturés aux clients ", a-t-il annoncé à l'issue de la réunion. Une idée jetée plusieurs fois aux orties par les banques. Si la ministre Christine Lagarde a dit sa préférence pour la négociation, le sujet pourrait très bien faire partie du projet de loi sur la concurrence qui doit être présenté à l'automne. " C'est un rendez-vous qui existe et que les banquiers connaissent ", faisait-on observer hier à Matignon.
Frais en cas d'incident de paiement
Enfin, François Fillon a assuré la " sortie rapide " du décret plafonnant les frais facturés en cas d'incident de paiement. Le texte est en cours de rédaction mais les banques mettraient du temps à transmettre au Trésor leurs estimations de coûts de traitement. " Un projet sera finalisé d'ici à fin septembre ", assurait-on

lundi 27 août 2007

Pret sans revenu!

Comment obtenir un crédit sans avoir de revenus ?
Un crédit hypothécaire permet d'emprunter sans avoir de revenus, du moment qu'un capital immobilier peut être apporté en garantie. Seule obligation : investir la moitié du prêt accordé dans un contrat d'assurance vie
Que ce soit pour bénéficier de trésorerie, permettre une diversification du patrimoine, le règlement de droits de successions ou la réalisation de vos futurs projets et pourquoi pas de vos rêves, il est possible d'obtenir un crédit utilisable avec une liberté totale, sans obligation de revenus, sans visite médicale et sans aucune limite d'âge !
Vous rêvez d'une résidence secondaire ? Besoin de trésorerie pour payer l'impôt de solidarité sur la fortune ? Ou vous souhaitez simplement diversifier vos investissements ?
Un crédit hypothécaire est peut-être la solution. Il s'agit d'un prêt garanti par votre résidence principale ou secondaire.
Le "crédit hypothécaire sur immobilier résidentiel" proposé par le cabinet Anthony & Cie (www.antco.com) commence par une estimation du bien immobilier. La banque proposera alors un crédit jusqu'à 100% de la valeur estimée du bien immobilier, sachant qu'au minimum 50% de cette valeur sera réinvesti sous forme d'assurance vie administrée par la banque et mise en nantissement.
La durée du crédit sur le bien immobilier est établie de manière personnalisée en fonction de chaque client.
La banque facture des frais de dossier de 1% de la valeur totale du crédit et des droits d'entrée à définir en fonction du montant investi en assurance vie. Les frais d'expertise sont pris en charge par le client.
En général, la banque retient les biens immobiliers d'une valeur minimale de 500.000 euros par client.
A compter de la présentation du dossier complet, il faut compter un délai de 8 semaines pour la mise à disposition des fonds.
Cette offre n'a, bien entendu, rien à voir avec les "subprimes" qui eux sont accordés dans des conditions risquées à des emprunteurs parfois peu solvables.
De plus, la double garantie (hypothèque sur le bien immobilier + assurance vie nantie et représentant la moitié de la somme prêtée) enlève tout aléa à cette opération.

samedi 21 juillet 2007

Comment créer son parcous de formation?

Comment construire son parcours de formation?
C'est dès maintenant qu'il convient de construire son projet de formation. Il doit permettre de maintenir son employabilité, à l'aide de formations de courte et longue durée soigneusement agencées. Mais face à la multiplication des offres s'adressant aux cadres en activité, choisir sa formation relève souvent du parcours du combattant. Comment procéder pour être sûr de frapper à la bonne porte ?
1. Quel est son projet professionnel ?
Première étape : réfléchir à son projet professionnel. Quel type de poste vise-t-on et quelles sont les compétences à acquérir pour atteindre son objectif ? Regardez ensuite dans les catalogues ou sur les sites des organismes les programmes qui correspondent le mieux à vos besoins. On peut se faire guider si nécessaire par des conseillers en formation, présents dans la plupart des écoles et organismes.
2. Quel est le temps dont on dispose ?
Pour combler ses lacunes, veut-on précéder par étape ou faire le saut dans les plus brefs délais ? Répondre à cette question, suppose d'étudier sans complaisance le temps qu'on pense pouvoir consacrer à sa reprise d'études. "Trop de candidats souhaitent s'engager dans des formations diplômantes sans toujours se rendre compte de la charge de travail que cela représente. Car il n'y a pas que le suivi des cours, il faut aussi évaluer le travail personnel demandé par les programmes.
Certains cursus prévoient aussi la réalisation d'une étude qui peut prendre plusieurs mois", souligne Dominique Censier, conseillère en formation à l'EM Lyon. Pour mesurer le temps nécessaire, on peut contacter des personnes qui ont déjà suivi le programme et leur demander comment elles se sont organisées. Suivre une formation longue suppose aussi de faire des arbitrages entre sa reprise d'études et sa vie personnelle. La décision du cadre doit être partagée par sa famille. Si toutes les conditions ne sont pas réunies, il vaut mieux alors se rabattre sur des formations courtes. Dans ce cas, il est judicieux de choisir des programmes qui pourront donner lieu à une validation d'acquis si on souhaite ensuite s'engager dans une formation plus longue.
3. Quel est son budget ?
Le coût des formations varie d'un programme à l'autre. Connaître la politique de l'entreprise permet d'obtenir des indications sur la manière dont l'employeur accompagnera ou non son projet. Ceci est important pour les 3e cycles particulièrement coûteux. Si la prise en charge de formations longues n'est pas une priorité dans votre entreprise, étudiez comment les différents dispositifs (DIF, CIF) peuvent vous aider à financer le cursus visé.
Dans certains cas, déposer un dossier de Validation des acquis de l'expérience (VAE) permet d'être dispensé d'une partie des enseignements, ce qui diminue la durée et le coût du programme. A noter : les différents dispositifs peuvent être cumulés. Après avoir fait toutes ces démarches, il faut alors analyser si l'on est suffisamment motivé pour contracter un prêt personnel ou puiser dans ses économies au cas où le montant de la formation ne serait pas couvert à 100 %.
4. Quelle sera la valeur ajoutée de ma formation ?
Avant de se lancer, mieux vaut avoir réfléchi à la valeur ajoutée qu'apportera le programme suivi. Pour les formations courtes, la possibilité de mettre en oeuvre rapidement ce qu'on a appris est fondamentale car en deux ou trois jours, on n'a pas toujours le temps de faire les exercices plusieurs fois. Du coup, pour rentabiliser l'investissement, il faut immédiatement appliquer les recettes données. Pour les formations longues, le retour sur investissement dépend de son parcours précédent et de son projet professionnel.
Pour certains salariés, la possibilité de décrocher un 3e cycle est la seule façon d'accéder au statut de cadre. Pour ceux qui ont déjà un 3e cycle, le suivi d'un nouveau cursus doit permettre d'atteindre des buts précis : évoluer vers des postes de management si on choisit un MBA ou se spécialiser dans un domaine particulier si on souhaite faire un master.
5. Quelle est la part de risque qu'on est prêt à assumer ?
L'attitude d'un employeur concernant le financement de cursus diplômant est également une indication sur la manière dont celui-ci envisage votre progression au sein de l'entreprise. Faire une formation en cas de refus nécessite donc de réfléchir à la part de risque que l'on est prêt à assumer : pour valoriser son diplôme, il sera sans doute nécessaire de charger de société à court ou moyen terme car une formation doit être validée rapidement pour qu'elle ait un effet positif sur l'évolution de sa carrière.

Formation des Commerciaux

Les commerciaux doivent se former et regarder les clients d'une autre manière
Créer avec le client des relations à long terme et améliorer la compétence de leurs commerciaux, tels sont les priorités majeures des dirigeants commerciaux, révèle la première édition du baromètre Cegos des Dirigeants commerciaux.
Miser sur une relation client à long terme et sur la formation continue, voilà ce que les commerciaux peuvent retirer pour améliorer leur carrière de la première édition du baromètre Cegos des Dirigeants commerciaux.
Cette étude insiste sur "la différentiation concurrentielle par la relation client" par le développement de partenariat ainsi que "la focalisation sur des ventes à forte à valeur ajoutée" qui deviennent les préoccupations numéro un de tout bon cadre commercial, selon l'étude Cegos réalisé en mai 2007 auprès d'un échantillon national de 274 entreprises de toutes tailles et secteurs d'activité. Vendre mieux est la priorité pour les commerciaux d'aujourd'hui, ces deux facteurs étant à l'origine même de l'amélioration des marges, nouveau credo d'une stratégie commerciale qui se respecte.
Selon ce baromètre Cegos, tout porte à croire qu'il ne faut plus miser sur une simple croissance du chiffre d'affaire mais plutôt sur une "amélioration constante de la marge commerciale" pour assurer la pérennité de sa stratégie commerciale.
Seconde leçon retirée du barômètre, les commerciaux réclament plus de formation continue pour s'épanouir dans son travail malgré le cadre d'un environnement toujours plus global. Contrairement aux idées reçues, ils ne sont pas seulement "motivés" par une rémunération attractive, ils recherchent un certain épanouissant au travail à travers une activité qui permet l'affirmation et la réalisation de soi. Tout cela passe par la formation continue qui permet cet épanouissement au travail.
De plus, la première édition du baromètre montre que les directeurs commerciaux envisagent un investissement plus fort à l'international. La "culture du changement" est désormais la priorité si l'on veut évoluer et s'adapter avec plus d'aisance dans un environnement mondialisé. Le "coaching et l'accompagnement des managers" doit être le fer de lance de ce besoin de changement permanent.

mardi 10 juillet 2007

CREDIT BAIL

Des spécialistes à votre écoute

Recourir à un Crédit Bail Immobilier vous permet de bénéficier de l’appui d’une équipe de spécialistes veillant, au respect des cadres juridiques, réglementaires, techniques et financiers de votre projet immobilier.

Dans le cadre du contrat, CM-CIC Lease se porte acquéreur pour votre compte d’un immeuble existant ou à construire, puis vous le loue sur une durée variant de 7 à 15 ans.

A l'issue du contrat de crédit bail, vous devenez pleinement propriétaire de l'immeuble en exerçant l'option d'achat, à un prix fixé dès la signature du contrat et généralement symbolique, de 1 €. Les loyers facturés constituent une charge déductible pour l’entreprise.

Un mode de financement complet

Financement permettant la prise en charge totale des coûts de votre projet, le crédit bail immobilier porte non seulement sur l’acquisition ou les travaux mais peut intégrer également les frais de mutation, la TVA, les honoraires et assurances construction et les frais divers liés au programme d’investissement.

De plus, les coûts de mise en place sont avantageux, particulièrement si la durée du financement est inférieure à 12 ans


Adapté a votre besoin particulier

Les clients de CM-CIC Lease sont :

Des sociétés ayant un projet d’acquisition ou de construction d’immeubles d’exploitation

Des entreprises souhaitant dégager de nouveaux moyens financiers pour leur développement par le refinancement d’actifs dont elles sont propriétaires (lease back)

Des investisseurs, personnes physiques ou sociétés (souvent des SCI) désireux de réaliser un investissement immobilier qui sera donné en location
Les loyers peuvent être constants ou modulés dans le temps

Des avantages qui font la différence

Les applications du dispositif législatif particulier au crédit bail immobilier peuvent varier d’une région à une autre. Toutefois, d’une façon pratiquement générale, le crédit bail immobilier permet d’intégrer les subventions des collectivités locales, du moins celles pouvant être affectées au financement d’actif immobilier, de favoriser une accélération de l’amortissement qui sera basé sur une durée de contrat (7 a 15 ans) plus courte que la durée d’amortissement comptable habituel d’un immeuble (plus de 20 ans) et d’utiliser de façon opportune, sous certaines conditions, votre trésorerie disponible.

mercredi 4 juillet 2007

CIC - Entreprises

Restez informé avec les alertes e-mail et SMS

Dans la rubrique Vos services / Alertes, vous pouvez paramétrer deux types d'alertes, à recevoir par e-mail, par SMS ou les deux.

  • Les alertes périodiques aux dates que vous choisissez, vous obtenez le solde d'un compte ainsi que les 5 dernières écritures ou l'encours d'une carte bancaire.
  • Les alertes événementielles : vous déterminez à quelles occasions vous souhaitez recevoir message (un débit, un encours d'une carte bancaire, un crédit ou un solde de compte atteignant un seuil fixé). Lorsque l'événement se produit, vous recevez une alerte.

OPCVM : définissez le rôle des délégués

Vous pouvez affecter des rôles précis aux différents utilisateurs du service dans la rubrique Votre contrat/Délégués. En ce qui concerne les fonctions Bourse et OPCVM, vous définissez, pour chacun des utilisateurs, s'il peut traiter :

  • tous les types d'achat et de vente de titres en direct
  • les OPCVM monétaires
  • les OPCVM obligataires
  • les OPCVM actions

Réactivez vos fichiers télétransmis

Il vous arrive parfois d'avoir besoin de récupérer un fichier déjà reçu (relevés de comptes, impayés...) et donc désactivé ? Désormais, vous pouvez réactiver un fichier pendant 8 jours, quelle que soit la solution de télétransmission utilisée : ETEBAC 3, Transferts Web, Prodicic Plus. Pour cela, vous allez dans la rubrique Vos télétransmissions / Consultation fichiers transmis. Vous cliquez alors sur l'option Réactivation.

Suivez l'activité de vos cartes professionnelles

Dans la rubrique Vos avis et restitutions / Activité cartes, vous visualisez les dépenses, achats et retraits de l'ensemble de vos cartes professionnelles sous la forme d'une synthèse, pour le mois en cours et pour le mois précédent (historique sur un an).
Depuis quelques jours, vous pouvez aussi télécharger les opérations au format Excel ou CSV et les imprimer.

Commandez vos bordereaux de remise de chèques

Gagnez du temps en commandant dans Filbanque vos bordereaux de remise de chèques. Pour cela, il vous suffit d'en faire la demande dans la rubrique Vos services / Commande de chéquier.

CIC - Jeune

Vous avez obtenu le Bac cette année ?
Profitez vite des offres exceptionnelles du CIC :

lundi 2 juillet 2007

CREDIT BAIL

CREDIT BAIL

Des spécialistes a votre écoute

Recourir a un Crédit Bail Immobilier vous permet de bénéficier de l’appui d’une équipe de spécialistes veillant, au respect des cadres juridiques, réglementaires, techniques et financiers de votre projet immobilier.

Dans le cadre du contrat, CM-CIC Lease se porte acquéreur pour votre compte d’un immeuble existant ou à construire, puis vous le loue sur une durée variant de 7 à 15 ans.

A l'issue du contrat de crédit bail, vous devenez pleinement propriétaire de l'immeuble en exerçant l'option d'achat, à un prix fixé dès la signature du contrat et généralement symbolique, de 1 €. Les loyers facturés constituent une charge déductible pour l’entreprise.

Un mode de financement complet

Financement permettant la prise en charge totale des coûts de votre projet, le crédit bail immobilier porte non seulement sur l’acquisition ou les travaux mais peut intégrer également les frais de mutation, la TVA, les honoraires et assurances construction et les frais divers liés au programme d’investissement.

De plus, les coûts de mise en place sont avantageux, particulièrement si la durée du financement est inférieure à 12 ans


Adapté a votre besoin particulier

Les clients de CM-CIC Lease sont :

Des sociétés ayant un projet d’acquisition ou de construction d’immeubles d’exploitation

Des entreprises souhaitant dégager de nouveaux moyens financiers pour leur développement par le refinancement d’actifs dont elles sont propriétaires (lease back)

Des investisseurs, personnes physiques ou sociétés (souvent des SCI) désireux de réaliser un investissement immobilier qui sera donné en location
Les loyers peuvent être constants ou modulés dans le temps

Des avantages qui font la différence

Les applications du dispositif législatif particulier au crédit bail immobilier peuvent varier d’une région à une autre . Toutefois, d’une façon pratiquement générale, le crédit bail immobilier permet d’intégrer les subventions des collectivités locales, du moins celles pouvant être affectées au financement d’actif immobilier, de favoriser une accélération de l’amortissement qui sera basé sur une durée de contrat (7 a 15 ans) plus courte que la durée d’amortissement comptable habituel d’un immeuble (plus de 20 ans) et d’utiliser de façon opportune, sous certaines conditions, votre trésorerie disponible.

mardi 26 juin 2007

CIC – Esprit libre

Gérez vos dépenses en toute transparence

Les achats ou les retraits effectués avec la carte Allure Libre en France ou à l'étranger sont déduits de votre réserve de crédit. Au fur et à mesure de vos remboursements, elle se reconstitue automatiquement.
Chaque mois, vous recevez le détail de vos opérations. Vous savez toujours où vous en êtes.

Vous remboursez à votre rythme

Pour tout achat supérieur à 150 €, vous pouvez programmer la durée de vos remboursements de 3 à 60 mensualités.
Sinon, vous remboursez chaque mois de 3% à 10% du crédit, selon les modalités que vous avez déterminées lors de la souscription.
Dans tous les cas, vous pouvez aussi rembourser par anticipation ou reporter une mensualité.

Des garanties supplémentaires pour vos achats

Achetez en toute tranquillité, des garanties spécifiques sécurisent les achats1 réglés avec la carte Allure Libre :

- frais de réparation ou de remplacement pris en charge en cas de vol ou de détérioration accidentelle dans les 48 heures qui suivent l'achat ou la livraison

- prolongation de la garantie constructeur

- remboursement des différences de prix supérieures à 45 €2

Exemple d'utilisation du crédit Allure Libre

Pour une utilisation de 1 000 € avec l'option de remboursement 5%, vous remboursez 22 mensualités de 50 € et une dernière de 25,12 €. Coût total du crédit 125,15 €. TEG annuel révisable : 13,09% indexé sur l'EURIBOR moyenne mensuelle à 6 mois (hors assurance facultative). Le coût total du crédit dépend du montant et de la durée effective du découvert. Conditions en vigueur au 1er juin 2007.

mercredi 13 juin 2007

CIC - Votre partenaire financier!

Un Livret à 6% en 2007 : un bon bagage pour démarrer !

6% taux nominal annuel (brut pour le Livret Bienvenue, net pour le Livret Jeune) pour tout nouveau versement au CIC sur un Livret Bienvenue ou un Livret Jeune souscrit entre le 16/05/2007 et le 31/12/2007, dans la limite de 1 600 € (la rémunération du Livret Bienvenue est à 2,5% taux nominal annuel brut au-delà des 1 600 €).
Les intérêts sont calculés par quinzaine et capitalisés à la fin de l'année civile. Offre réservée aux personnes physiques. Un seul livret par titulaire.
Les Livrets d'épargne n'ont pas de durée minimale, vous pouvez les clôturer en adressant un courrier à la banque.

2 Pour un prêt personnel de 3 000 € sur 36 mois, vous remboursez 36 mensualités de 87,06 €, frais de dossier offerts. TEG annuel fixe de 2,90% (hors assurances facultatives). Coût total du crédit de 134,09 € (représentant exclusivement les intérêts). Sous réserve d'acceptation par la banque. Conditions au 01/05/2007, applicables jusqu'au 13/07/2007.

3 L'abonnement au Contrat Personnel Starts Jeunes Actifs formule Web est gratuit jusqu'au 31/12/2007, (puis à 4 € par mois) pour tout nouveau contrat souscrit avant le 28ème anniversaire du souscripteur entre le 21 mai et le 13 juillet 2007.
Le Contrat Personnel Starts Jeunes Actifs n'a pas de durée minimale, vous pouvez le clôturer en adressant un courrier à la banque.

De plus en plus d'entreprises, petites comme grandes, recourent au crédit bail et à la LLD pour financer leurs équipements et plus particulièrement leurs véhicules professionnels. Ces solutions ont su capter l'intérêt des entreprises par une offre de services et des avantages adaptés à leurs problématiques.

Une façon moderne de gérer vos véhicules

Dans le système du crédit-bail ou de la LLD, l'organisme financier se porte acquéreur des véhicules à votre place. Ainsi, vous en financez seulement l'utilisation et non l'acquisition.
Vous disposez cependant d'une totale liberté : c'est vous qui choisissez le concessionnaire et négociez avec lui. Voitures de société, véhicules utilitaires légers ou véhicules industriels peuvent être ainsi financés.
Autre avantage notable :
vous ne vous endettez plus mais gérez des charges d'exploitation.

Optimisez votre fiscalité avec le crédit-bail

Aujourd'hui, un financement sur quatre se fait de cette manière. Les avantages sont nombreux :

· - Le crédit-bail finance 100% de votre investissement.

· - Vous choisissez la périodicité (mensuelle, trimestrielle) et les modalités des loyers (linéaires, dégressifs ou loyer majoré) selon votre activité et le mode d'utilisation du véhicule.

· - Vous n'avez pas à avancer la TVA : elle est acquittée par le bailleur et répercutée sur l'ensemble des loyers. Sa charge est donc lissée sur toute la durée du contrat, et vous pouvez la récupérer.

· - Les loyers sont déductibles des bénéfices dans leur intégralité et réduisent donc l'assiette de l'impôt1. Vous optimisez ainsi votre fiscalité.

La LLD : le service en plus !

Les solutions locatives se distinguent également par les services qui leur sont associés. Pour les entreprises qui veulent compter sur des véhicules parfaitement entretenus sans avoir à s'en occuper, le CIC a conçu Auto Confort Pro CIC. Dans cette formule tout compris sont intégrés :

· - un contrat de location, d'entretien et de maintenance sur mesure

· - une assistance sans franchise kilométrique

En option, vous pouvez choisir :

· - un véhicule de remplacement en cas d'immobilisation

· - la gestion des pneumatiques

· - la gestion de carburant par carte distributeur

Crédit-bail ou LLD ?

Le crédit-bail est la solution qu'il vous faut si :

· - vous souhaitez vous charger vous-même de l'entretien des véhicules (s'il s'agit de véhicules utilitaires pour lesquels l'entreprise dispose d'un service de maintenance, par exemple)

· - dès l'origine du contrat, vous souhaitez bénéficier d'une option d'achat sur le véhicule, en vue de l'acquérir pour le conserver ou le revendre

La LLD est la solution qu'il vous faut si :

· - vous souhaitez déléguer l'achat, la gestion et l'entretien des véhicules

· - vous ne voulez pas vous soucier de la revente des véhicules dépréciés

Prêt étudiants

Vous avez moins de 28 ans ?

Le CIC vous offre un bon bagage pour démarrer dans la vie : un Prêt Jeunes à 2,9%2

· Pour un prêt personnel de 3 000 € sur 36 mois, vous remboursez 36 mensualités de 87,06 €

· Frais de dossier offerts

· TEG annuel fixe : 2,9% (hors assurances facultatives)

dimanche 3 juin 2007

Voitures de luxe en location

Louer une Ferrari pour une semaine coûte environ 10000 euros.DR

Certaines voitures très haut de gamme peuvent se louer pour un week-end ou quelques jours, à condition d'avoir un compte en banque bien fourni.

Ferrari 360 Modena ou 430 coupé, Aston Martin DB9 cabriolet, Mercedes SLK 350, des voitures qui font rêver et qui restent, pour la plupart d’entre nous, du domaine de l'inaccessible. Or si l’achat de ces voitures de luxe est souvent irréalisable (comptez environ 200.000 euros pour une Ferrari), la location pour une journée, un week-end ou une semaine peut s’envisager, même si, au-delà de sept jours, le prix avoisine celui d’une voiture d’occasion !

Mais attention, ces voitures de luxe ne peuvent pas être mises entre toutes les mains. Les loueurs prennent en effet leurs précautions avant de confier leur bébé au client. Les conditions pour pouvoir monter à bord d’une de ces luxueuses et belles voitures sont nombreuses : avoir au minimum 21, 25 voire 30 ans pour certains modèles, être titulaire d’un permis depuis au moins 3 ou 5 ans et, surtout, avoir un compte en banque à la hauteur. La location d’une Ferrari F430, par exemple, revient entre 1500 et 2000 euros par jour, 5000 euros pour le week-end et environ 10000 euros la semaine. La balade revient cher… Autre chiffre exorbitant, le montant de la franchise ou de la garantie qu’il faudra avancer avant de prendre le volant de ces bolides de luxe. Pour une Ferrari F430, celle-ci peut s’élever à 20.000 euros et à 25.000 euros pour une Aston Martin DB9, sans compter le prix du km supplémentaire qui peut allégrement atteindre les 6 euros et le réservoir de 95 litres pour une Ferrari 360 qu'il faudra bien remplir après avoir appuyé un peu trop sur le champignon.

Solides garanties exigées

« La première chose que je fais quand un client veut me louer une voiture de luxe, je lui présente le prix de la franchise. D’emblée, sa réaction me permet de savoir s’il a les reins assez solides», déclare Olivier Guazzoni, créateur associé de just4vip, une société spécialisée dans la location de véhicules haut de gamme. « Parfois, nous acceptons de confier certaines voitures à des jeunes de 23 ou 22 ans, mais dans ce cas, nous doublons le prix de la franchise » confie-t-il. D'autres loueurs vont encore plus loin dans leurs pratiques, à la limite de la légalité, et n'hésitent pas à appeler "le banquier pour vérifier la solidité du compte", souligne un autre connaisseur du milieu.

Afin d'apporter une garantie suffisante, le client doit, selon les modèles, présenter une ou deux cartes de crédit de type Gold Card ou Visa Infinite. Autant dire que les propriétaires de ces précieux sésames sont rares. Concernant les dégâts qui peuvent être occasionnés aux véhicules, la franchise ou la garantie sera encaissée si la responsabilité du conducteur est engagée en partie ou en totalité.

Les périodes où la location de ces belles est prisée? L'été bien sûr, plus particulièrement lors du festival de Cannes et, surtout, du Grand Prix de Monaco. "C'est à ce moment là que nous enregistrons le plus de commandes", déclare Olivier, quand toute la crème du show-biz mondial et de la jet set se donnent rendez-vous pour être vus. Le type de client? Des Russes et des Américains, mais aussi de plus en plus de Brésiliens, et également des chefs d'entreprise ou des personnalités de la télé française. En revanche, ces derniers sont plus adeptes de voitures divertissantes, comme la Mini Cooper, que des grosses sportives ou des berlines de luxe. Au final, qu'il s'agisse d'achat ou de location, les voitures haut de gamme restent toujours la cible d'une clientèle fortunée!

Alexandre Panizzo.


Bâle à l'heure du grand luxe

C'est dans un climat d'euphorie que Baselworld, le salon mondial de l'horlogerie et de la bijouterie, ouvre ses portes aujourd'hui à Bâle jusqu'au 19 avril.

Croissance mondiale des marchés du luxe, année record pour l'industrie horlogère suisse en 2006... État des lieux avec Sylvie Ritter, directrice de Baselworld.

Comment s'annonce cette 35e édition de Baselworld ?

Extrêmement bien. La conjoncture économique est favorable à l'ensemble de notre secteur. D'une part, les marchés traditionnels pour les produits de luxe que sont les États-Unis, l'Europe et l'Asie ont connu l'an dernier de fortes croissances, à l'instar d'ailleurs de celles constatées dans les pays émergents comme la Russie ou la Chine. D'autre part, le chiffre d'affaires de l'industrie horlogère helvétique a, pour la troisième année d'affilée, enregistré un taux de progression à deux chiffres, de près de 11 %. En 1986, le total des exportations horlogères suisses se chiffrait à 4,3 milliards de francs suisses. Vingt ans après, il a atteint 13,7 milliards ! L'objectif de Baselworld a toujours été de représenter l'ensemble de la branche. C'est pourquoi ce salon s'est développé en même temps que le marché. Aujourd'hui, nous estimons qu'environ 90 % de la production horlogère suisse y est représentée, des machines-outils aux produits finis, de la haute horlogerie aux marques de grande diffusion. Pour tous les acteurs de cette industrie, Bâle constitue un événement phare. Les marques réalisent ici entre 75 % et 90 % de leur chiffre d'affaires annuel. En 2006, nous avons accueilli plus de 94 000 visiteurs. Nous espérons aujourd'hui franchir la barre des 100 000 personnes. Sur 160 000 m², les distributeurs vont découvrir les nouvelles collections de plus de 2 000 exposants en provenance du monde entier. Bâle est devenu un baromètre pour les industries du luxe, un carrefour mondial où les tendances se dessinent, quels que soient les segments de gamme considérés.

Quelles sont les évolutions que vous avez constatées ?

Les exposants ne se contentent plus de présenter leurs nouveautés, ils les mettent en scène. Les stands sont devenus de véritables écrins où le patrimoine, l'histoire, le contexte de l'entreprise sont mis en avant. Autrefois, on exposait des produits, aujourd'hui on présente des univers de marques. Dans l'horlogerie, c'est flagrant : le secteur des montres ne représente que 16 % des exposants mais s'arroge 55 % de la surface totale d'exposition. De plus, les frontières entre les secteurs s'estompent. Les marques de montres lancent des bijoux et inversement. Les entreprises de ce secteur s'inscrivent dans une logique de globalité : présenter au sein d'un même espace un concept de marque où les produits renvoient à des valeurs, à un certain art de vivre, etc. Le consommateur n'achète plus une montre ou un bijou particulier, il s'offre un nom et l'univers afférent.

Comment l'expliquez-vous ?

Le marché horloger est devenu de plus en plus concurrentiel. Depuis quelques années, il y a eu un renforcement dans le haut de gamme. L'arrivée de nouvelles marques voulant se lancer dans les pièces de prestige a conduit les maisons existantes à accroître également leur proposition dans ce secteur. Et l'apparition d'une clientèle mondiale de plus en plus riche a accru la demande de produits de luxe. D'autre part, l'arrivée massive des marques de mode, qui se sont toutes mises à lancer des montres, a également changé la donne en favorisant, notamment, ce concept d'univers global. Il en résulte une très grande diversité des modèles présentés en termes de design, de matériaux, de couleurs, comme dans la recherche de mécanismes avec des fonctions inédites. Il y a dix ans, quand on s'achetait une montre suisse, on pensait avoir la bonne et la garder un certain temps. Aujourd'hui, il faudrait presque en avoir une pour chaque moment de la journée ! Chaque année, à la veille de l'ouverture de Bâle, je me demande ce que les horlogers vont encore avoir inventé pour susciter et assouvir les envies des consommateurs...

lundi 28 mai 2007

Légère hausse pour le Cac 40 dans des volumes insignifiants

Hésitant depuis le début de la matinée, le marché parisien est reste cantonné sur ses niveaux de la veille tout au long de la journée. Après une ouverture positive, l'indice phare du palais Brongniart s'est rapidement orienté à la baisse avant de repasser en territoire positif. Les volumes sont très faibles en raison de la fermeture des marchés britanniques, allemands et américains. Les intervenants manquent par ailleurs de repère en l'absence de statistique et d'informations en provenance des entreprises. Outre l'absence de nombreux gérants pour la Pentecôte, la tendance est à l'attentisme alors que la semaine qui commence sera riche en statistiques américaines avec notamment les indices de confiance du consommateur demain et vendredi, la deuxième estimation du PIB jeudi, qui sera suivie le lendemain par le rapport sur l'emploi de mai. A la clôture, le Cac 40 (Paris: actualité) gagne 0,23% à 6.071,47 points dans un volume d'affaires étriqué de 869 millions d'euros traités sur les valeurs de l'indice. Le baril de brut léger américain se replie de 90 cents à 64,30 dollars après la suspension d'une grève au Nigeria, mais les cours pourraient rebondir à l'occasion du Memorial Day, qui marque le début de la " driving season " outre-Atlantique. Le dollar se reprend à 1,3453 pour 1 euro après avoir reculé vendredi en réaction à la baisse des reventes de logements aux Etats-Unis le mois dernier. Plus forte hausse du Cac 40, Michelin (Paris: FR0000121261 - actualité) progresse de 1,40% à 90,25 euros. EADS monte sur la deuxième marche du podium avec un gain de 1,19% à 23,64 euros. Jean-Paul Gut devrait quitter son poste de co-directeur général délégué du groupe d'aéronautique et de défense cette semaine, selon La Tribune. Le quotidien ajoute qu'il devrait être remplacé par Marwan Lahoud, le PDG du fabricant de missiles MBDA.
Saint Gobain (Paris: FR0000125007 - actualité) prend la troisième place avec une progression de 0,91% à 80,46 euros. Egalement bien orienté, France Télécom monte de 0,84% à 22,61 euros après avoir reçu des marques d'intérêt et des offres sur tout ou partie du capital de sa filiale Orange aux Pays-Bas. L'opérateur téléphonique a décidé d'engager un processus formel d'analyse de ces offres. Arcelor Mittal gagne 0,83% à 43,65 euros. Le sidérurgiste a annoncé la cession de sa participation de 25% dans le russe Severgal à son partenaire Severstal. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. Vivendi gagne 0,37% à 31,82 euros. Universal Music Group a finalisé vendredi l'acquisition de BMG Music Publishing pour 2,19 milliards de dollars (1,63 milliard d'euros). Ce rachat permet à Universal Music Group de prendre la tête des éditeurs de musique devant EMI Music Publishing. Contre la tendance, GDF recule de 1% à 37,62 euros, signant ainsi la plus forte baisse du Cac 40, affecté par l'incertitude qui pèse sur le projet de fusion avec Suez (Paris: FR0000120529 - actualité) , dont le titre cède 0,66% à 42,11. Au SRD, Safran (Paris: FR0000073272 - actualité) avance de 2,24% à 19,58 euros, porté par le projet de scission de son pôle télécommunications en deux entités. Scor s'apprécie de 0,59% à 20,27 euros. La Commission suisse des reprises a annoncé le report, du 29 mai au 12 juin, de la date d'ouverture de l'offre publique d'achat du réassureur Converium par le groupe français. Ce report est motivé par une procédure juridique aux Etats-Unis. GFI Informatique (Paris: FR0004038099 - actualité) , dont la cotation a repris ce matin, avance de 0,54% à 9,25 euros. Le titre avait été suspendu vendredi dans l'attente du lancement de l'offre de Fujitsu Services à 8,50 euros par action. Enfin, la cotation des actions Entrepose Contracting (Paris: FR0010204321 - actualité) est suspendue dans l'attente d'un communiqué. Le spécialiste des équipements pour l'industrie du pétrolière et du gaz a annoncé jeudi dernier le rachat du britannique Amec Spie Capag pour 48,5 millions d'euros.

lundi 21 mai 2007

Le CAC repasse sous les 6.100 points

Le 21 mai 2007 à 18h08 - Les Echos

Le seuil des 6.100 points, regagné vendredi en clôture pour la première fois depuis novembre 2000, s'est retrouvé sous la pression de prises de bénéfices. D'autant que Wall Street a ouvert sur une note hésitante.
A la clôture, le CAC 40 a limité ses pertes à 6.089,91 points (-0,18%) grâce à la hausse de poids lourds comme Total, Sanofi et Société Générale. Il a reculé ce matin jusqu'à 0,64%. Les volumes échangés se sont révélés assez étoffés à 6,8 milliards d'euros sur le SRD, dont 5,5 milliards pour le CAC 40.
Peu après la clôture de Paris, le Dow Jones grappillait 0,02% tandis que le Nasdaq progressait de 0,85% grâce à la poursuite des rachats.
Aucune statistique n'était attendue lundi aux Etats-Unis. La semaine sera d'ailleurs relativement calme. Il faudra attendre jeudi pour avoir les premiers chiffres de la semaine avec les allocations hebdomadaires au chômage, les commandes de biens durables et les ventes de logements neufs. Vendredi seront publiées les ventes de logements existants.
En l'absence de statistique économique, la tendance à Wall Street s'est montrée déterminante pour la clôture des places européennes. Les annonces de rachats n'ont cessé de s'y multiplier. Cette fois-ci, c'est l'opérateur télécoms Alltel qui a annoncé son rachat par deux fonds d'investissement pour 25 milliards de dollars environ.
En Europe, les marchés d'actions ont également été animés par une vague de fusions-acquisitions et les rumeurs qui l'accompagnent. Le secteur bancaire a encore été au coeur de l'actualité en Europe avec le rapprochement UniCredit-Capitalia.
La hausse des valeurs pétrolières dans le sillage de la remontée des cours du pétrole au seuil des 70 dollars le baril a continué également de soutenir les indices.
La spéculation reprend sur Société Générale

Société Générale a fini en hausse de 1,59%. Loin de calmer la spéculation, le projet de rapprochement entre les deux banques italiennes UniCredit et Capitalia pour créer la deuxième banque européenne l'a encore alimenté. UniCredit a reconnu avoir eu des contacts avec la Société Générale et ne pas être parvenue à un accord. Mais la banque française n'a pas abandonné l'idée d'un rapprochement franco-italien.
Sanofi-Aventis a gagné 1,58% à 71,17 euros. Vendredi, la valeur s'était déjà envolée alors que les autorités américaines avaient autorisé l'extension du Lovenox pour les crises cardiaques les plus sévères. Credit Suisse a par ailleurs relevé son objectif de cours de 67 à 71 euros ().
Total a gagné encore 1,05% après un début de séance hésitant. La valeur a bondi de 6,5% au cours des deux dernières séances dans le sillage de la remontée des cours du pétrole, remontée qui se poursuit.
Axa a gagné 0,24%. Selon l'hebdomadaire britannique The Observer, le groupe pourrait lancer une contre-offre sur la société Friends Provident dans le cas où le fonds d'investissement JC Flowers lançerait la sienne.
EADS (-0,7%) et Thales (+1,01%) ont remporté un contrat dans les satellites aux Emirats arabes unis, d'un montant de 1,01 milliard d'euros.
Seb a terminé en hausse de 4,7% à 144,20 euros. UBS est passé à l'achat avec un objectif de cours de 163 euros, contre 126 euros auparavant .
ADP a gagné 3,6% à 89,80 euros. Le groupe a remporté un contrat pour la concession de l'aéroport international Queen Alia d'Amman en Jordanie.
Technip a gagné 0,6%. Le groupe parapétrolier a conclu un contrat d'ingénierie, de fourniture d'équipements et de construction pour 90 millions d'euros avec le britannique BP pour des conduites flexibles destinées à une unité flottante située dans la mer du Nord norvégienne. "Ce nouveau contrat met en lumière la capacité de Technip à remporter des appels d'offres de toutes tailles et contribuera à la croissance du carnet de commandes en 2007", souligne un spécialiste du secteur.
AG mouvementée en perspective pour Valeo

L'attention des investisseurs s'est également portée sur les assemblées générales avec notamment celle de Valeo. Le fonds Pardus, le principal actionnaire, devait tenter de faire adouber huit administrateurs afin de modifier la stratégie de l'équipementier automobile. Par ailleurs, selon la presse indienne, Valeo et une filiale du conglomérat indien Tata négocient l'achat d'une part de l'équipementier américain Visteon pour un prix compris entre 1,5 et 2 milliards de dollars. La valeur a gagné 0,56%.
Unibail termine en baisse de 0,7%. Ses actionnaires ont approuvé l'OPE amicale de 11,2 milliards d'euros sur le néerlandais Rodamco. Le groupe issu de la fusion sera le numéro un de l'immobilier commercial et disposera d'un patrimoine de 22 milliards d'euros.
France Télécom (-0,59%) et Arkema (+0,94%) réunissaient également leurs actionnaires en assemblée générale.
Eurotunnel a perdu 7,5%. L'offre publique d'échange (OPE) destinée à sauver l'exploitant du tunnel sous la Manche de la faillite est close depuis 17h30.




FINANCE

a Bourse de Paris a terminé en léger repli lundi, le CAC 40 cédant 0,18 % et subissant des prises de bénéfices après un sommet depuis six ans et demi, en dépit du mouvement de consolidation bancaire qui profitait de nouveau à la Société Générale. L'indice parisien vedette a cédé 11,23 points à 6.089,91 points, dans un volume d'échanges de 5,548 milliards d'euros, repassant sous la barre symbolique des 6.100 points franchie vendredi et s'éloignant d'un plus haut en clôture depuis novembre 2000. Londres a abandonné 0,06 %, Francfort a pris 0,15 % et l'Eurostoxx 50 a cédé 0,30 %.

"Le marché reste sous l'emprise des fusions-acquisitions et termine tout juste en territoire négatif, en l'absence de nouvelles macroéconomiques et de publications de sociétés", a expliqué à l'AFP un vendeur d'actions d'une grande banque européenne. En effet, souligne le courtier Global Equities, "les opérations financières se poursuivent à un rythme soutenu", dans la banque mais aussi dans la publicité en ligne avec l’OPA de Microsoft sur aQuantive, ce qui oriente progressivement les indices mondiaux "vers des sommets historiques".

Société Générale (+ 1,60 %) a grimpé alors que le mariage annoncé entre les banques italiennes UniCredit et Capitalia, loin de mettre fin aux rumeurs sur un rachat du groupe bancaire français, pourrait au contraire les relancer. Pour les analystes du CM-CIC, "cette opération remet - provisoirement ? - à plus tard une fusion (d'Unicredit) avec Société Générale", mais "pourrait également relancer les spéculations d'un scénario franco-français" de rapprochement entre la SG et une concurrente comme BNP Paribas.

Sanofi-Aventis (+ 1,58 %) a poursuivi sur sa lancée de vendredi, toujours porté par la nouvelle autorisation accordée par l'administration fédérale américaine du médicament (FDA) à son anti-coagulant Lovenox.

Total (+ 1,05 %) a été recherché après deux nouvelles découvertes de pétrole dans les eaux très profondes au large de l'Angola, conjointement avec la compagnie Sociedade Nacional de Combustiveis de Angola (Sonangol).

Carrefour (- 0,79 %) a reculé à la veille de la comparution du groupe de distribution devant la justice française pour quatre dossiers de publicité mensongère, un dossier de reventes à perte et un dossier de coopération commerciale.

Suez (- 0,93 %) a pâti de l'abaissement à "accumuler" contre "achat" auparavant de la recommandation du courtier français Oddo Securities, avec un objectif de cours inchangé à 45 euros.

Technip (+ 0,60 %) a séduit les investisseurs après la signature avec le britannique BP d'un contrat de fourniture d'équipements pour 90 millions d'euros, pour des conduites flexibles destinées à une unité flottante en mer du Nord norvégienne.

ADP (+ 3,58 %) a bénéficié à la fois de la hausse de 2,9 % sur un an de son trafic en avril, avec 7,4 millions de passagers, et de la confirmation par le groupe de l'obtention pour 25 ans de la concession de l'aéroport international Queen Alia d'Amman en Jordanie.

Seb (+ 4,68 %) a profité d'une étude optimiste d'UBS, qui a relevé sa recommandation sur le groupe de petit électroménager à "acheter" contre "neutre" précédemment, et son objectif de cours de 29 % à 163 euros en saluant "l'amélioration de ses perspectives de croissance".

Eurotunnel (- 7,50 %) a décroché en fin de séance avant la clôture de son offre publique d'échange, destinée à sauver l'exploitant du tunnel sous la Manche de la faillite par la création d'un nouveau groupe restructuré et moins endetté.
(Avec l'AFP).

- Valeur IT à suivre -

Hi Media (+ 0,79 % à 7,66 euros). Après un début mai en dents de scie, Hi Media repart légèrement à la hausse. Le titre progresse de 0,79 % lundi dans un volume épais : plus de 700.000 titres ont été échangés. Le 14 mai dernier, Hi Media avait publié un chiffre d'affaires de 22,4 millions d'euros sur le premier trimestre 2007, en augmentation de 72 % sur un an. L'essentiel des revenus de la régie proviennent désormais du micropaiement (11 millions d'euros en hausse de 92 %) suivi par la régie publicitaire (9,9 millions, + 67 %).

lundi 7 mai 2007

Alcoa : gonfle ses gains après l'offre sur Alcan

Alcoa (NYSE: AA - actualité) prend 6,2% ce soir sur le Nyse, à 38$ dans 55 MT échangés, cinq fois la moyenne quotidienne. Alcan (AL.TO - actualité) , pour sa part, flambe de 32% à 81$ sur la place américaine.

Le géant américain de l'aluminium Alcoa veut donc s'offrir son rival canadien Alcan. Alcoa a annoncé qu'il prévoyait d'effectuer une proposition à 73,25$ par titre Alcan en cash et actions, ce qui se traduirait par une valeur d'entreprise de 33 Mds$ pour Alcan. Alcoa offrirait aussi, sur ces bases, une prime de 32% sur le cours moyen de clôture d'Alcan à 30 jours sur le Nyse, mais également une prime de 20% sur les cours de clôture de vendredi.

Alcoa veut lancer son offre sur Alcan dès demain, 08 mai, et anticipe une finalisation possible de l'opération d'ici la fin de l'année 2008. L'offre se décomposerait en 58,60$ par titre en cash et 0,4108 action Alcoa par titre Alcan. Alcoa évalue les synergies de dépenses annuelles à 1 Md$ en cas de succès.